
Dates bahá’íes importantes —182 è. b. (2025-2026)
Le jour bahá’í se termine, et un nouveau commence, au coucher du soleil.
« Maison universelle de justice bien-aimée — que notre amour pour vous est fort! Quelle distance entre notre vue limitée et votre perspicacité extraordinaire! Comme nous avons hâte de voir votre vision s’accomplir! »
Peut-être que notre « Tiny » communauté n’est pas si petite après tout.
Le texte suivant est d’une jeune mère qui décrit comment l’exemple de son père en prière a influencé sa propre relation avec la prière.
Une animatrice travaillant dans un quartier de Toronto décrit comment une crise d’unité a été surmontée, et a servi à renforcer l’unité et la cohésion du groupe de préjeunes, juste à temps pour le bicentenaire de la naissance de Bahá’u’lláh.
Une bahá’íe de Montréal réfléchit au fait que son attitude envers les jours saints célébrés localement a changé quand elle a tenu chez elle une célébration du bicentenaire de la naissance de Bahá’u’lláh.
Composée pour le bicentenaire de la naissance de Bahá’u’lláh, cette chanson met en musique les paroles de Bahá’u’lláh qui commencent en français par « Oiseaux mortels, entendez-moi ! »
Une Albertaine, déléguée pour la première fois cette année, raconte comment une rencontre au hasard dans les transports en commun l’a aidée à mieux comprendre les conseils de la Maison universelle de justice contenus dans le plus récent message du Ridván, nous invitant à demeurer « attentifs aux possibilités qui existent partout de faire connaître à d’autres sa vie et sa mission sublime. »
Le poème suivant intitulé Sweet Escape est de Nadia Alikashani, qui participe aux activités d’un groupe de préjeunes de West Vancouver. Nadia a été inspirée à écrire ce poème par la troisième leçon du manuel pour préjeunes Le temple humain.
Le texte suivant est tiré d’une lettre que nous avons reçue d’un groupe d’amis de LaSalle (Québec). Elle décrit une soirée de mars dernier. Ils s’étaient rencontrés pour rompre le jeûne, prier et passer du temps ensemble. La soirée avait lieu chez une amie qu’ils appellent affectueusement tante Jerina.
Voici quelques photos prises partout au pays, aux congrès de circonscription, fin janvier, début février.