Une lumière du monde de l’au-delà
Ce poème est de Manar Ali Vink. Elle l’a écrit à la fin d’un programme durant lequel elle a étudié La chronique de Nabil avec des amis. Elle a douze ans et habite à Vancouver.
Celui qui se lève a annoncé l’aube
Du glorieux soleil de Bahá
Brillant, de la lumière du monde de l’au-delà
Une seule étincelle a enflammé un rugissant brasier
Qui a couvert une contrée enveloppée d’obscurité
Brillant, de la lumière du monde de l’au-delà
Un appel a été lancé, un appel du monde d’en haut
Et les âmes endormies sur le lit de l’insouciance se sont éveillées
Brillant, de la lumière du monde de l’au-delà
Jetant les chaînes des désirs terrestres
Et s’empressant de boire à la coupe du martyre
Brillant, de la lumière du monde de l’au-delà
Et dans chaque cœur était allumé
Le feu brûlant de l’amour
Brillant, de la lumière du monde de l’au-delà
Bien qu’emprisonnée, torturée, enchaînée
La flamme a continué à brûler
Brillant, de la lumière du monde de l’au-delà
Ne mourant pas, de défaillant pas, persistant à brûler
Les ténèbres ont commencé à se lever
Brillant, de la lumière du monde de l’au-delà