
Séminaires spécialisés de l’Association d’études bahá’íes
Avant sa conférence annuelle, l’Association prévoit de tenir plusieurs ateliers spécialisés de deux jours.
« La première réalité est la conscience de plus en plus vive, partout dans le monde, des dangers menaçants et effroyables que recèle la pandémie du coronavirus…La seconde réalité, qui devient chaque jour plus évidente, est la résilience et la vitalité toujours aussi grande du monde bahá’í face à un défi sans équivalent dans la mémoire humaine ».
« Rarement a-t-il été plus évident que la force collective de la société dépend de l’unité qu’elle peut manifester dans l’action…et nous savons que vous apportez votre soutien aux efforts essentiels déployés à cet égard pour protéger la santé et le bien-être de tous ».
« L’Assemblée nationale a reçu de nombreuses demandes de renseignements sur les mesures que devrait prendre la communauté bahá’íe pour limiter la propagation du nouveau coronavirus (COVID-19)… »
« La situation actuelle et l’escalade des mesures prises par les gouvernements et les compagnies aériennes ont maintenant nécessité la suspension des pèlerinages et des visites de courte durée en Terre sainte jusqu’à ce que les circonstances permettent leur reprise ».
Une mère raconte l’expérience de son fils qui a parlé des Ayyám-i-Há à ses amis et à son institutrice.
Lors d’une série de quatre séminaires organisés à la Munk School of Global Affairs de l’Université de Toronto, les panélistes ont présenté leurs points de vue sur le rôle de la religion dans la construction d’une société pacifique et cohésive.
Un groupe d’amis de Victoria (Colombie-Britannique) formant une équipe de quartier, raconte l’expérience de son pèlerinage.
Numéro hiver 2020 du Bahá’í Canada : Le bicentenaire de la naissance du Báb