Publié le : 2020/09/29
M. Douglas Martin. Photo: Bahá’í World News Service.
Douglas Martin, ancien membre de la Maison universelle de justice, est décédé le 28 septembre 2020 à Toronto, au Canada. Il était âgé de 93 ans.
La Maison universelle de justice a envoyé le message suivant à toutes les Assemblées spirituelles nationales.
* * *C’est avec des cœurs affligés qui débordent déjà de chagrin que nous annonçons le décès de Douglas Martin, notre ancien collègue tellement aimé et admiré. Ayant embrassé la foi de Bahá’u’lláh dans sa jeunesse, il a dédié sa vie, de tout son cœur, à la cause de Dieu, durant des décennies successives de services exceptionnels. Les dons particuliers qu’il possédait pour présenter la Foi avec clarté et vision transparaissent tant dans ses écrits universitaires que dans ses présentations publiques, notamment dans la défense vigoureuse de la communauté bahá’íe en Iran. Une grande partie de ce travail a été réalisé alors qu’il assumait simultanément de lourdes responsabilités dans l’administration de la Foi dont un quart de siècle passé en tant que membre de l’Assemblée spirituelle nationale du Canada, la plupart du temps comme son secrétaire. Son intelligence brillante et sa compréhension peu commune des grandes forces de l’histoire, combinées à ses pouvoirs d’expression impressionnants, étaient grandement manifestes pendant les années passées comme directeur général du Bureau d’information publique de la Communauté internationale bahá’íe, un prélude aux douze années où il a servi en tant que membre de la Maison universelle de justice. Résolu, ingénieux et doué d’une perception pénétrante, il nous manquera immensément.
Nous prions ardemment pour que le cher Douglas, maintenant réuni avec Elizabeth, son épouse bien-aimée, soit reçu avec joie dans le royaume d’Abhá, et pour que son âme lumineuse prenne son essor dans les royaumes illimités d’en haut. Les amis de toutes les communautés sont appelés à rendre hommage à sa mémoire en organisant des commémorations, y compris par des prières dans toutes les maisons d’adoration, si les circonstances le permettent.
La Maison universelle de justice
Cet article a à l’origine été publié par le Bahá’í World News Service.