« La jeunesse doit s’envoler » : les jeunes se réunissent pour une conférence sur l’île de Vancouver
Au début du mois de juin, 50 jeunes ont fait le point sur la situation actuelle et ont réfléchi aux moyens de promouvoir un modèle d’action qui vise à inclure un nombre croissant de leurs camarades dans le processus de construction communautaire.
Cinquante jeunes de toute l’île de Vancouver ont participé à la conférence, qui s’est tenue à Duncan, en Colombie-Britannique.
Dans son message du Ridván de 2024, la Maison universelle de justice écrivait :
« Nous sommes conscients de la vitalité et de la force générées, dans toute société, par les jeunes qui s’éveillent à la vision de Bahá’u’lláh et deviennent des protagonistes du Plan. Et ainsi, avec quelle immense bienveillance, quel courage et quelle confiance absolue en Dieu les jeunes bahá’ís doivent-ils décider de tendre la main à leurs pairs et de les intégrer dans ce travail ! Tous doivent s’élancer, mais la jeunesse doit s’envoler. »
En réponse à ce message, et en particulier à l’impératif contenu dans l’expression « la jeunesse doit s’envoler », plusieurs conférences pour les jeunes de 15 à 25 ans sont organisées à travers le Canada, mobilisant des jeunes qui sont préoccupés par la situation du monde et s’engageant à changer les choses. Ces conférences lanceront une période d’activité intensive durant l’été, au cours de laquelle de nombreux jeunes participeront à un processus éducatif qui, en affirmant la réalité spirituelle de chaque être humain, renforcera leur capacité à s’améliorer, à développer des amitiés constructives et à apporter un changement positif au sein de la communauté.
Les 8 et 9 juin, 50 jeunes de l’île de Vancouver se sont réunis pour explorer leur rôle dans cette entreprise. La conférence a commencé avec l’histoire de Badí qui, à l’âge de 17 ans, a remis une lettre de Bahá’u’lláh au S͟háh de Perse – une entreprise pour laquelle il a en fin de compte sacrifié sa vie terrestre.
En songeant au parcours de Badi, nous pouvons établir un parallèle entre la tâche sacrée qui lui a été confiée et la responsabilité sacrée que la Maison universelle de justice confie à cette génération de jeunes, celle de transformer leur communauté. Les jeunes peuvent s’élever au rang de nouveaux Badis, et des occasions comme la conférence les aident à voir que beaucoup d’autres jeunes suivent le même chemin.
Les jeunes ont dessiné une carte des communautés de l’île de Vancouver dans le cadre d’une session de planification.