Le 25e anniversaire de l’application de la loi du ḥuqúqu’lláh partout dans le monde

Publié le : 2017/11/07

Au cours de trois conférences tenues au Canada, dont une à Ottawa, en Ontario, une à Vancouver en Colombie-Britannique et une à Chelsea au Québec, les amis ont réfléchi à la portée du droit de Dieu.

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Les amis présents à la conférence d’Ottawa, en Ontario. Photo: Louis Brunet

La loi du ḥuqúqu’lláh est devenue applicable dans le monde entier il y a 25 ans, quand la Maison universelle de justice a écrit : Avec humilité devant notre Seigneur souverain, nous annonçons maintenant que dès le Ridván 1992, début de l’année sainte, la loi du ḥuqúqu’lláh, le droit de Dieu, deviendra universellement applicable. Tous sont cordialement appelés à l’observer[1]. » Pour célébrer cet important anniversaire, trois conférences sur le droit de Dieu ont eu lieu au Canada en 2017, l’année du bicentenaire de la naissance de Bahá’u’lláh.

La première a eu lieu le 24 juin à Ottawa, en Ontario. Cette conférence a lieu chaque année depuis douze ans et, cette fois, elle a attiré environ 65 participants. Son programme a commencé avec la présentation du film « 25 ans depuis l’application du ḥuqúqu’lláh partout dans le monde », qui a été produit par le Conseil régional des mandataires du ḥuqúqu’lláh pour la République d’Irlande et le Royaume-Uni, pour marquer cet anniversaire.

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Les membres du Corps continental des conseillers servant l’Amérique du Nord, les membres du Conseil des mandataires du ḥuqúqu’lláh au Canada, et les représentants du droit de Dieu en Colombie-Britannique, qui étaient présents à la conférence de Vancouver.

La deuxième conférence a eu lieu le 30 septembre à Vancouver, en Colombie-Britannique. Comptant environ 300 participants, elle est la plus grande assemblée portant exclusivement sur le droit de Dieu a avoir lieu au Canada. Exceptionnellement, six membres du Corps continental des conseillers étaient présents durant l’après-midi et ont entendu l’allocution du conseiller Borna Noureddin.

Le coordinateur du Bureau du ḥuqúqu’lláh au Centre mondial bahá’í, M. Brian Eiriksson, s’est joint à ces deux conférences par vidéoconférence. Il mené une visite guidée virtuelle du Bureau et a raconté des histoires portant sur la loi du ḥuqúqu’lláh. Une variété de prestations artistiques ont enrichi et égayé les deux conférences.

Drumming

Un groupe de percussion, à la conférence de Vancouver, en Colombie-Britannique.

La troisième conférence, qui était beaucoup plus modeste et intime, a eu lieu à Chelsea, au Québec, et a reçu l’assistance des assemblées spirituelles de Gatineau et de Chelsea. Le 28 octobre, onze personnes se sont réunies pour regarder le film « 25 ans depuis l’application du ḥuqúqu’lláh partout dans le monde » et pour étudier divers textes en anglais et en français portant sur la loi. Le mandataire adjoint, le Dr ‘Abdu’l-Missagh Ghadirian, a représenté le Conseil des mandataires aux conférences d’Ottawa et de Chelsea.

Les cinq membres du Conseil des mandataires étaient présents à la conférence de Vancouver, et chacun d’eux a présenté un thème durant la séance du matin. Ces allocutions et le programme de l’après-midi ont été diffusés en ligne en direct partout au pays. On peut accéder en ligne à des vidéos des allocutions prononcées à la conférence de Vancouver ainsi que d’un bon nombre des prestations artistiques.

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Les participants à la conférence tenue à Chelsea, au Québec.

Le Conseil des mandataires remercie les nombreux représentants qui ont joué un rôle dans l’organisation de ces conférences. Il est aussi reconnaissant aux assemblées spirituelles locales qui appuient ces efforts. Veuillez prendre contact avec le représentant de votre région pour soulever toute question au sujet du ḥuqúqu’lláh ou pour organiser une séance d’étude. Dans le texte suivant, tiré d’une allocution prononcée en 1991, M. Ian Semple, un ancien membre de la Maison universelle de justice, souligne l’importance d’une réflexion continuelle sur ce sujet :

« La loi du ḥuqúqu’lláh présente aux bahá’ís un sujet qui est plein de surprises et d’émoi. Dans certains de ses aspects elle est gouvernée par des principes que nous connaissons dans le contexte des fonds bahá’ís en général, mais en étudiant cette loi, et ses implications, nous en venons graduellement à comprendre qu’il y a aussi de profondes différences entre le droit de Dieu et les contributions que nous faisons à partir de nos propres ressources pour l’avancement de la Foi.

Heureusement, la loi est très simple dans ses éléments essentiels […]. Les surprises et les émois viennent moins des détails de la loi elle-même que de notre compréhension croissante des principes sous-jacents et de ses implications pour la société[2]. »

– Conseil des mandataires du ḥuqúqu’lláh au Canada

[1] La Maison universelle de justice, message du Ridván 1991, à tous les bahá’ís du monde.

[2] M. Ian Semple, « The Law of Ḥuqúqu’lláh and Some of its Implications », 1991.