Des familles ukrainiennes augmentent le bien-être de la communauté
Dans le groupement de Lanark, en Ontario, des familles ukrainiennes nouvellement arrivées ont travaillé ensemble pour répondre aux besoins matériels et spirituels de leur communauté.
La communauté bahá’íe de Carleton Place (Ontario), une ville située à environ 50 kilomètres au sud-ouest du centre d’Ottawa, dans le groupement de Lanark, a accueilli plusieurs familles ukrainiennes qui participent maintenant activement aux efforts de construction de la société dans la communauté, y compris les classes pour enfants et les groupes de préjeunes.
Lors de visites, les conversations entre ces familles tournent autour de la promotion du bien-être spirituel et matériel de la communauté, et mènent parfois à parler de la personne de Bahá’u’lláh, de ses enseignements et de l’histoire de la Foi.
Tout au long de leur participation aux activités éducatives, les parents ont exprimé leur gratitude pour l’accompagnement spirituel que les classes bahá’íes pour enfants et les groupes de préjeunes offrent à leurs familles. Les mères qui participent à un cercle d’étude ont fait part de leur satisfaction d’avoir accès aux écrits bahá’ís et de disposer d’un espace pour les étudier ensemble.
Au cours de l’été, les amis ukrainiens ont organisé un vide-grenier en collaboration avec l’ensemble de la communauté et ont récolté plus de 3 000 dollars. Les familles se sont concertées et ont décidé de consacrer une partie de cette somme à un camp d’été bahá’í.
Les parents ont soutenu activement le camp de préjeunes. Les mères ont planifié et organisé de nombreux éléments du camp et ont fourni des repas en tant que contributions en nature afin de réduire les dépenses. Dans le cadre du projet de service, les participants au camp et leurs parents ont aidé une famille à nettoyer, peindre et embellir un appartement délabré afin qu’il devienne habitable.
Les récits de transformations individuelles résultant de ce camp d’été abondent. Des mères ont déclaré que leurs enfants étaient plus heureux et s’adaptaient mieux à la vie au Canada grâce au camp. Une enfant de 10 ans a déclaré qu’elle avait désormais une photo du Maître sur son téléphone. Elle a déclaré : « J’ai toujours mon téléphone avec moi, et quand j’ai des difficultés à l’école, je regarde la photo de “Abdu’l-Bahá et Il m’aide ».
-Parvaneh Rowshan