Fin de la construction du Fort de Shaykh Tabarsi
Poursuivant notre série d’histoires extraites de la Chronique de Nabíl, d’ici le bicentenaire de la naissance du Báb, nous présentons ici des extraits du chapitre le plus dramatique, Le Soulèvement du Mázindarán.
La construction du fort de Shaykh Tabarsí était dans sa phase finale lorsque Bahá’u’lláh a visité le camp. Sur ses instructions, Quddus fut libéré de sa captivité et rejoignit Mulla Husayn et ses compagnons au fort. Son arrivée l’a rendu « complet et parfait » et a répondu aux souhaits de Bahá’u’lláh.
Le travail était à peine achevé lorsque Shaykh Abú-Turáb arriva, portant la nouvelle de l’arrivée de Bahá’u’lláh au village de Nazar Khán. Il dit à Mullá Husayn qu’il avait été spécialement chargé par Bahá’u’lláh de les informer qu’ils allaient tous être ses hôtes cette nuit-là et qu’il se joindrait lui-même à eux ce même après-midi.
J’ai entendu Mullá Mírzá Muhammad-i-Furúghí raconter ce qui suit : « La nouvelle qu’apportait Shaykh Abú-Turáb procura une joie indescriptible au cœur de Mullá Husayn. Il se précipita chez les compagnons et les pria de s’activer en vue de la réception de Bahá’u’lláh. Il se joignit lui-même à eux en balayant et en arrosant les alentours du tombeau, et assista en personne à tous les préparatifs en vue de l’arrivée du visiteur bien-aimé. Dès qu’il le vit s’approcher du fort en compagnie de Nazar Khán il se précipita vers eux, embrassa tendrement Bahá’u’lláh et le conduisit à la place d’honneur qu’il avait réservée à son intention. Nous étions trop aveugles alors pour reconnaître la gloire de celui que notre chef avait introduit auprès de nous avec tant de respect et d’amour. Notre perception bornée ne pouvait encore reconnaître ce que Mullá Husayn avait déjà discerné. Avec quelle sollicitude l’avait-il pris dans ses bras! Quels sentiments de délice et d’extase envahirent son cœur lorsqu’il le vit ! Il était si perdu dans son admiration qu’il était devenu totalement oublieux de nous tous. Son âme était si absorbée dans la contemplation de ce visage que nous, qui attendions sa permission pour nous asseoir, dûmes rester longtemps debout à côté de lui. Ce fut Bahá’u’lláh lui-même qui nous pria finalement de nous asseoir. Nous aussi, nous en vînmes bientôt à ressentir, quoique imparfaitement, le charme de son verbe, même si aucun d’entre nous cependant ne put se douter, même vaguement, de la puissance infinie qui était latente en ses paroles.
« Bahá’u’lláh, au cours de cette visite, inspecta le fort et exprima sa satisfaction devant l’œuvre qui avait été accomplie. Lors de sa conversation avec Mullá Husayn, il expliqua en détail les points qui lui semblaient vitaux au bien-être et à la sécurité de ses compagnons. “La seule chose qui manque à ce fort et à ce groupe, dit-il, est la présence de Quddús. Sa présence parmi cette compagnie la rendrait complète et parfaite.” Il chargea Mullá Husayn de dépêcher Mullá Mihdíy-i-Khu’í avec six personnes à Sárí pour demander à Mírzá Muhammad-Taqí de leur remettre aussitôt Quddús. “La crainte de Dieu et la terreur qu’inspire son châtiment”, affirma-t-il à Mullá Husayn, “l’inciteront à libérer sans hésitation son prisonnier.” »
« Avant de partir, Bahá’u’lláh enjoignit aux compagnons d’être patients et résignés à la volonté du Tout-Puissant. “Si telle est sa volonté, nous viendrons vous rendre visite à nouveau ici même afin de vous prêter assistance. Vous avez été choisis par Dieu pour être l’avant-garde de son armée et les fondateurs de sa foi. Son armée sera, en vérité, victorieuse. Quoi qu’il advienne, la victoire vous appartient, une victoire qui est complète et certaine.” Par ces paroles, il confia ces vaillants compagnons aux soins de Dieu et repartit vers le village en compagnie de Nazar Khán et de Shaykh Abú-Turáb. De là, il retourna à Tihrán en passant par Nur. »
Mullá Husayn se mit aussitôt à exécuter les instructions qu’il avait reçues. Il appela Mullá Mihdí, le pria de se rendre en compagnie de six autres compagnons à Sárí, pour demander au mujtahid de libérer son prisonnier.
Dès qu’il reçut le message de Mullá Husayn, Mírzá Muhammad-Taqí accéda inconditionnellement à sa demande. Le pouvoir dont ce message avait été doté sembla l’avoir complètement désarmé. « Je ne l’ai considéré », se hâta-t-il d’affirmer aux messagers, « que comme un hôte honorable dans ma maison. Il serait déplacé de ma part de prétendre l’avoir congédié ou relâché. Il est libre de faire ce qui lui plaît. S’il venait à désirer que je l’accompagne, je le suivrais volontiers. »
Mullá Husayn avait dans l’intervalle prévenu ses compagnons de l’arrivée de Quddús et leur avait enjoint de faire preuve envers lui d’un respect semblable à celui qu’ils estimaient nécessaire de manifester envers le Báb lui-même. « Quant à moi, ajouta-t-il, je dois être considéré par vous comme son humble serviteur. Vous devez lui témoigner une telle loyauté que s’il vous donnait l’ordre de m’ôter la vie, vous obéiriez sans hésiter. Si vous hésitez, si vous montrez votre indécision, vous aurez prouvé votre infidélité envers votre foi. Vous ne devez en aucune façon vous aventurer à lui imposer votre présence tant qu’il ne vous a pas appelé auprès de lui. Vous devez renoncer à vos désirs pour vous attacher à sa volonté et à son bon plaisir. Vous devez vous abstenir de lui baiser les pieds ou les mains, car son cœur béni répugne à de telles preuves d’affection révérencieuse. Votre attitude doit être telle que je puisse me sentir fier de vous devant lui. La gloire et l’autorité dont il a été investi doivent forcément être reconnues de chacun de ses compagnons, si insignifiant soit-il. Quiconque s’écarte de l’esprit et de la lettre de mes exhortations sera certes l’objet d’un cruel châtiment. »
Lors de son séjour à Sárí, Quddús tenta à maintes reprises de convaincre Mírzá Muhammad-Taqí de la vérité du message divin. Il discuta en toute liberté avec lui des questions les plus importantes ayant trait à la révélation du Báb. Ses remarques hardies et franches furent exprimées dans un langage si aimable, si persuasif et si courtois, présentées avec tant d’humour et de cordialité, que ceux qui les entendirent ne se sentirent nullement offensés. Ils s’étaient même mépris sur le sens de ses allusions au Livre sacré, croyant qu’il s’agissait là d’observations humoristiques destinées à divertir les auditeurs. Mírzá Muhammad-Taqí, malgré la cruauté et la méchanceté qui étaient latentes en lui et qu’il devait manifester ultérieurement par sa position consistant à insister sur l’extermination des survivants des défenseurs du fort de Shaykh Tabarsí, se sentit empêché par une force intérieure de faire preuve du moindre signe d’irrespect envers Quddús alors que ce dernier était emprisonné chez lui. Il s’était même senti enclin à empêcher les habitants de Sárí d’offenser Quddús, et on l’a souvent entendu les blâmer pour le mal qu’ils désiraient lui infliger.
La nouvelle de l’arrivée imminente de Quddús émut les occupants du fort de Tabarsí. Vers la fin de son voyage, Quddús dépêcha un messager pour annoncer son arrivée. L’heureuse nouvelle donna aux compagnons un regain de courage et de force. Poussé par une explosion de joie qu’il ne pouvait réprimer, Mullá Husayn se leva et, escorté par environ cent de ses compagnons, se hâta d’aller à la rencontre du visiteur attendu. Il mit deux chandelles dans les mains de chacun d’entre eux, les alluma lui-même, et les pria de partir à la rencontre de Quddús. L’obscurité de la nuit fut dissipée par le rayonnement que ces cœurs joyeux répandaient en allant vers leur bien-aimé. Au milieu de la forêt du Mázindarán, leurs yeux reconnurent instantanément le visage qu’ils avaient tant désiré voir. Ils se groupèrent impatiemment autour de sa monture et, avec toutes les marques de dévotion, lui firent part de leur affection et de leur allégeance éternelle. Tenant encore les chandelles allumées dans leurs mains, ils le suivirent à pied vers leur destination. Quddús, qui chevauchait parmi eux, apparaissait tel l’astre du jour brillant au milieu de ses satellites. Tout en s’avançant lentement vers le fort, le groupe d’admirateurs enthousiastes entonna l’hymne de glorification et de louange. « Saint, saint est le Seigneur notre Dieu, le Seigneur des anges et de l’esprit ! » chantaient autour de lui leurs voix joyeuses. Mullá Husayn lançait l’heureux refrain, auquel le groupe tout entier répondait. La forêt du Mázindarán retentissait du son de leurs acclamations. Ils atteignirent ainsi le tombeau de Shaykh Tabarsí. Les premières paroles de Quddús, après être descendu de cheval et s’être appuyé contre le tombeau, furent : « le Baqíyyatu’lláh sera meilleur pour vous si vous êtes de ceux qui croient. » Par cette parole s’accomplissait la prophétie de Muhammad telle qu’elle est rappelée dans la tradition suivante : « Et lorsque le Mihdí sera manifesté, il s’appuiera contre la Ka’bih et s’adressera en ces termes aux trois cent treize disciples qui se seront réunis autour de lui : “Le Baqíyyatu’lláh sera meilleur pour vous si vous êtes de ceux qui croient.” » Par « Baqíyyatu’lláh », Quddús n’entendait nul autre que Bahá’u’lláh.
Le travail était à peine achevé lorsque Shaykh Abú-Turáb arriva, portant la nouvelle de l’arrivée de Bahá’u’lláh au village de Nazar Khán. Il dit à Mullá Husayn qu’il avait été spécialement chargé par Bahá’u’lláh de les informer qu’ils allaient tous être ses hôtes cette nuit-là et qu’il se joindrait lui-même à eux ce même après-midi.
J’ai entendu Mullá Mírzá Muhammad-i-Furúghí raconter ce qui suit : « La nouvelle qu’apportait Shaykh Abú-Turáb procura une joie indescriptible au cœur de Mullá Husayn. Il se précipita chez les compagnons et les pria de s’activer en vue de la réception de Bahá’u’lláh. Il se joignit lui-même à eux en balayant et en arrosant les alentours du tombeau, et assista en personne à tous les préparatifs en vue de l’arrivée du visiteur bien-aimé. Dès qu’il le vit s’approcher du fort en compagnie de Nazar Khán il se précipita vers eux, embrassa tendrement Bahá’u’lláh et le conduisit à la place d’honneur qu’il avait réservée à son intention. Nous étions trop aveugles alors pour reconnaître la gloire de celui que notre chef avait introduit auprès de nous avec tant de respect et d’amour. Notre perception bornée ne pouvait encore reconnaître ce que Mullá Husayn avait déjà discerné. Avec quelle sollicitude l’avait-il pris dans ses bras! Quels sentiments de délice et d’extase envahirent son cœur lorsqu’il le vit ! Il était si perdu dans son admiration qu’il était devenu totalement oublieux de nous tous. Son âme était si absorbée dans la contemplation de ce visage que nous, qui attendions sa permission pour nous asseoir, dûmes rester longtemps debout à côté de lui. Ce fut Bahá’u’lláh lui-même qui nous pria finalement de nous asseoir. Nous aussi, nous en vînmes bientôt à ressentir, quoique imparfaitement, le charme de son verbe, même si aucun d’entre nous cependant ne put se douter, même vaguement, de la puissance infinie qui était latente en ses paroles.
« Bahá’u’lláh, au cours de cette visite, inspecta le fort et exprima sa satisfaction devant l’œuvre qui avait été accomplie. Lors de sa conversation avec Mullá Husayn, il expliqua en détail les points qui lui semblaient vitaux au bien-être et à la sécurité de ses compagnons. “La seule chose qui manque à ce fort et à ce groupe, dit-il, est la présence de Quddús. Sa présence parmi cette compagnie la rendrait complète et parfaite.” Il chargea Mullá Husayn de dépêcher Mullá Mihdíy-i-Khu’í avec six personnes à Sárí pour demander à Mírzá Muhammad-Taqí de leur remettre aussitôt Quddús. “La crainte de Dieu et la terreur qu’inspire son châtiment”, affirma-t-il à Mullá Husayn, “l’inciteront à libérer sans hésitation son prisonnier.” »
« Avant de partir, Bahá’u’lláh enjoignit aux compagnons d’être patients et résignés à la volonté du Tout-Puissant. “Si telle est sa volonté, nous viendrons vous rendre visite à nouveau ici même afin de vous prêter assistance. Vous avez été choisis par Dieu pour être l’avant-garde de son armée et les fondateurs de sa foi. Son armée sera, en vérité, victorieuse. Quoi qu’il advienne, la victoire vous appartient, une victoire qui est complète et certaine.” Par ces paroles, il confia ces vaillants compagnons aux soins de Dieu et repartit vers le village en compagnie de Nazar Khán et de Shaykh Abú-Turáb. De là, il retourna à Tihrán en passant par Nur. »
Mullá Husayn se mit aussitôt à exécuter les instructions qu’il avait reçues. Il appela Mullá Mihdí, le pria de se rendre en compagnie de six autres compagnons à Sárí, pour demander au mujtahid de libérer son prisonnier.
Dès qu’il reçut le message de Mullá Husayn, Mírzá Muhammad-Taqí accéda inconditionnellement à sa demande. Le pouvoir dont ce message avait été doté sembla l’avoir complètement désarmé. « Je ne l’ai considéré », se hâta-t-il d’affirmer aux messagers, « que comme un hôte honorable dans ma maison. Il serait déplacé de ma part de prétendre l’avoir congédié ou relâché. Il est libre de faire ce qui lui plaît. S’il venait à désirer que je l’accompagne, je le suivrais volontiers. »
Mullá Husayn avait dans l’intervalle prévenu ses compagnons de l’arrivée de Quddús et leur avait enjoint de faire preuve envers lui d’un respect semblable à celui qu’ils estimaient nécessaire de manifester envers le Báb lui-même. « Quant à moi, ajouta-t-il, je dois être considéré par vous comme son humble serviteur. Vous devez lui témoigner une telle loyauté que s’il vous donnait l’ordre de m’ôter la vie, vous obéiriez sans hésiter. Si vous hésitez, si vous montrez votre indécision, vous aurez prouvé votre infidélité envers votre foi. Vous ne devez en aucune façon vous aventurer à lui imposer votre présence tant qu’il ne vous a pas appelé auprès de lui. Vous devez renoncer à vos désirs pour vous attacher à sa volonté et à son bon plaisir. Vous devez vous abstenir de lui baiser les pieds ou les mains, car son cœur béni répugne à de telles preuves d’affection révérencieuse. Votre attitude doit être telle que je puisse me sentir fier de vous devant lui. La gloire et l’autorité dont il a été investi doivent forcément être reconnues de chacun de ses compagnons, si insignifiant soit-il. Quiconque s’écarte de l’esprit et de la lettre de mes exhortations sera certes l’objet d’un cruel châtiment. »
Lors de son séjour à Sárí, Quddús tenta à maintes reprises de convaincre Mírzá Muhammad-Taqí de la vérité du message divin. Il discuta en toute liberté avec lui des questions les plus importantes ayant trait à la révélation du Báb. Ses remarques hardies et franches furent exprimées dans un langage si aimable, si persuasif et si courtois, présentées avec tant d’humour et de cordialité, que ceux qui les entendirent ne se sentirent nullement offensés. Ils s’étaient même mépris sur le sens de ses allusions au Livre sacré, croyant qu’il s’agissait là d’observations humoristiques destinées à divertir les auditeurs. Mírzá Muhammad-Taqí, malgré la cruauté et la méchanceté qui étaient latentes en lui et qu’il devait manifester ultérieurement par sa position consistant à insister sur l’extermination des survivants des défenseurs du fort de Shaykh Tabarsí, se sentit empêché par une force intérieure de faire preuve du moindre signe d’irrespect envers Quddús alors que ce dernier était emprisonné chez lui. Il s’était même senti enclin à empêcher les habitants de Sárí d’offenser Quddús, et on l’a souvent entendu les blâmer pour le mal qu’ils désiraient lui infliger.
La nouvelle de l’arrivée imminente de Quddús émut les occupants du fort de Tabarsí. Vers la fin de son voyage, Quddús dépêcha un messager pour annoncer son arrivée. L’heureuse nouvelle donna aux compagnons un regain de courage et de force. Poussé par une explosion de joie qu’il ne pouvait réprimer, Mullá Husayn se leva et, escorté par environ cent de ses compagnons, se hâta d’aller à la rencontre du visiteur attendu. Il mit deux chandelles dans les mains de chacun d’entre eux, les alluma lui-même, et les pria de partir à la rencontre de Quddús. L’obscurité de la nuit fut dissipée par le rayonnement que ces cœurs joyeux répandaient en allant vers leur bien-aimé. Au milieu de la forêt du Mázindarán, leurs yeux reconnurent instantanément le visage qu’ils avaient tant désiré voir. Ils se groupèrent impatiemment autour de sa monture et, avec toutes les marques de dévotion, lui firent part de leur affection et de leur allégeance éternelle. Tenant encore les chandelles allumées dans leurs mains, ils le suivirent à pied vers leur destination. Quddús, qui chevauchait parmi eux, apparaissait tel l’astre du jour brillant au milieu de ses satellites. Tout en s’avançant lentement vers le fort, le groupe d’admirateurs enthousiastes entonna l’hymne de glorification et de louange. « Saint, saint est le Seigneur notre Dieu, le Seigneur des anges et de l’esprit ! » chantaient autour de lui leurs voix joyeuses. Mullá Husayn lançait l’heureux refrain, auquel le groupe tout entier répondait. La forêt du Mázindarán retentissait du son de leurs acclamations. Ils atteignirent ainsi le tombeau de Shaykh Tabarsí. Les premières paroles de Quddús, après être descendu de cheval et s’être appuyé contre le tombeau, furent : « le Baqíyyatu’lláh sera meilleur pour vous si vous êtes de ceux qui croient. » Par cette parole s’accomplissait la prophétie de Muhammad telle qu’elle est rappelée dans la tradition suivante : « Et lorsque le Mihdí sera manifesté, il s’appuiera contre la Ka’bih et s’adressera en ces termes aux trois cent treize disciples qui se seront réunis autour de lui : “Le Baqíyyatu’lláh sera meilleur pour vous si vous êtes de ceux qui croient.” » Par « Baqíyyatu’lláh », Quddús n’entendait nul autre que Bahá’u’lláh.
– Nabíl-i-A`zam, La chronique de Nabil, p. 327-331.