Échos du bicentenaire : à London, en Ontario
En alliant des efforts dévoués sur une longue période et une campagne de visites visant à raviver les liens d’amitié, une équipe d’enseignement d’un quartier de London a réuni plus de cent amis à une célébration de la diversité de leur communauté.
Après que ceux qui servent dans le quartier Kipps Lane, le quartier cible de London, ont mené une campagne de visites des familles qu’ils connaissaient, ils ont accueilli un nombre inattendu de personnes à leur célébration.
Pendant au moins un mois, les animateurs de groupes de préjeunes et les enseignants de cours pour enfants ont visité chaque famille pour parler de Bahá’u’lláh et de l’importance du bicentenaire de sa naissance. Les enseignants et les parents ont approfondi ensemble ses enseignements et ont parlé de l’unicité de la famille humaine. En parallèle, les enfants se sont préparés à la célébration en décidant ce qu’ils allaient y contribuer.
De nombreux réfugiés du Népal se sont établis dans le quartier Kipps Lane, et, au cours des deux dernières années, ces familles participent de plus en plus aux diverses activités. Plus récemment, le nombre de réfugiés de pays arabes a augmenté. Leur culture s’est manifestée clairement lors de la célébration de la naissance de Bahá’u’lláh.
Le programme a eu lieu dans l’auditorium d’une école et les quelques 150 personnes qui y ont participé reflétaient l’esprit d’unité imaginé par Bahá’u’lláh. Le groupe de préjeunes a présenté des danses népalaises, les enfants ont chanté, et certains des amis ont joué de leurs tambours arabes. Chaque élément du programme a été présenté dans le contexte des enseignements de Bahá’u’lláh, ce qui a permis aux familles d’en apprendre davantage sur Bahá’u’lláh et sur sa vie, au moyen de textes historiques, de passages des Écrits et de segments du film Lumière du monde.
« Nous étions très surpris de voir le nombre de familles qui sont arrivées. Les gens ont invité leurs parents et leurs amis à la célébration et il y a donc eu de nombreux nouveaux visages », écrivait une animatrice d’un groupe de préjeunes dans son rapport. « Évidemment, le fait que les enfants et les préjeunes faisaient partie du programme a attiré un plus grand nombre de membres de leur famille. »
Plusieurs des invités se sont dit impressionnés du degré d’organisation. Ceux qui servent dans le quartier font maintenant un suivi auprès de chacune des familles et tentent de leur présenter le film Lumière du monde et les invitent à de nouveaux cercles d’étude.
– Azeen Moradipour