Message du Congrès national du Canada à la Maison universelle de justice
Message du Congrès national du Canada à la Maison universelle de justice, Le 26 avril 2015 / le 18 gloire 172 :
La Maison universelle de justice
Très chers amis,
Nous qui sommes délégués au 67e Congrès national bahá’í du Canada désirons exprimer notre amour et notre reconnaissance les plus profonds à la Maison universelle de justice pour avoir béni et guidé les amis, partout dans le monde, avec son message du Ridván 2015.
Enrichie par les observations profondes des conseillers Sonlla Heern et Dan Scott, et guidée par les conseils réfléchis de l’Assemblée spirituelle nationale des bahá’ís du Canada, l’institution du Congrès a étudié les réalisations du passé, l’apprentissage actuel et les défis à venir, et en a délibéré, alors que la communauté bahá’íe canadienne entreprend la dernière année du plan de cinq ans avec un engagement renouvelé pour l’enseignement individuel et les projets collectifs s’inscrivant dans le cadre du Plan.
Rassurés que nous devions avoir l’espoir, peu importe le progrès à accomplir, nous avons réfléchi, en consultation et en chanson, sur la signification de ce simple fil d’amour, ce fil vital avec lequel nous tissons un dynamique modèle de vie communautaire, assurés de recevoir l’aide divine et de remporter la victoire finale. La consultation a particulièrement fait ressortir le désir sincère des amis d’accueillir les premiers habitants du Canada dans une communauté bahá’íe aimante et de faire en sorte que ces populations uniques, dont les contributions sont si essentielles à l’exécution des objectifs du Plan, assument aussi la responsabilité de son cadre d’action.
Ayant eu le privilège d’être éclairés sur l’obligation divine du huqúqu’lláh, l’amour de ceux qui étaient présents au Congrès a été renforcé davantage par les développements récents qui leur ont été décrits par Don Rogers au sujet de la construction de la Maison d’adoration du Chili, et par les comptes rendus émouvants du développement des capacités, physiques aussi bien que spirituelles, chez les chers amis de Vanuatu.
Enrichis par les éloquentes perspectives venant du nord, de l’est, du sud et de l’ouest du Canada, les délégués du Congrès se résolvent à rentrer dans leur groupement avec une vigueur renouvelée, et à inviter toutes les âmes, jeunes aussi bien que moins jeunes, et tous les membres de la famille humaine à contribuer à la vague montante.
Avec la plus grande gratitude.
Le Congrès national des bahá’ís du Canada