Message de la Maison universelle de justice concernant les préjugés raciaux
Le 27 juillet 2020 / le 16 paroles 177
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Chers amis bahá’ís,
Le 22 juillet 2020, la Maison universelle de justice a adressé la lettre ci-jointe aux bahá’ís des États-Unis, et elle est maintenant accessible sur le site Web de la bibliothèque de référence bahá’íe[1]. L’Assemblée spirituelle nationale et les conseillers l’ont étudiée ensemble cette fin de semaine, et bien que nous sachions que le message a déjà été largement diffusé, nous souhaitons également vous l’envoyer directement, et, par votre intermédiaire, à tous les amis. Veuillez faire en sorte qu’il soit diffusé le plus largement possible dans vos communautés.
Les vérités contenues dans ce message sur la nature des préjugés et la façon dont le changement est accompli s’appliquent aussi bien au contexte canadien des préjugés culturels et raciaux qu’aux conditions de vie dans notre communauté sœur des États-Unis. Dans l’appel du 10 juillet 2020 pour la tenue de rassemblements dévotionnels dans chaque foyer impliqué dans le travail de construction communautaire au Canada, l’Assemblée nationale a indiqué que ces espaces offrent une occasion d’avoir des conversations significatives. Comme le message ci-joint le montre si éloquemment, ce sont ces conversations intimes entre des âmes enflammées qui libèrent les pouvoirs de l’amour, « créent une nouvelle sensibilité dans les cœurs humains, ouvrent les esprits à la persuasion morale et desserrent l’emprise des normes et des systèmes sociaux biaisés afin qu’ils puissent progressivement prendre une nouvelle forme conforme aux exigences de l’âge de maturité de l’humanité. Vous êtes les canaux de cet amour divin ; laissez-le couler à travers vous vers tous ceux qui croisent votre chemin. Infusez-le dans chaque quartier et espace social dans lesquels vous vous déplacez afin de renforcer la capacité à canaliser le pouvoir de construction de la société de la révélation de Bahá’u’lláh. Il ne peut y avoir de repos tant que le résultat escompté n’est pas atteint. »
Cet effort herculéen, placé dans le contexte du cadre du Plan par la lettre de la Maison de la Justice, est déjà en cours. Nous avons reçu des nouvelles passionnantes sur la réponse immédiate et généralisée à l’appel à une nouvelle vague de prière et de conversations significatives qui attirent des milliers de personnes dans le travail de construction communautaire, alimenté par l’instrument d’autonomisation de l’institut de formation. Par votre intermédiaire, nous invitons instamment les amis — individuellement, dans leurs familles et parmi des groupes d’amis — à étudier la lettre du 22 juillet et à lui permettre d’enrichir chaque aspect de la puissante entreprise qui nous attend en cette « dernière année du dernier Plan d’une série couvrant le dernier quart du premier siècle de l’Âge de formation »[1]. Les prières de l’Assemblée nationale les entourent.
L’ASSEMBLÉE SPIRITUELLE NATIONALE
DES BAHÁ’ÍS DU CANADA
La secrétaire,
Karen McKye
[1] La Maison universelle de justice, lettre du 9 mai 2020 à toutes les assemblées spirituelles nationales
